GILBERT1
Gilbert 1
Issu du graffiti, Gilbert1 travaille aussi bien dans la rue qu’en atelier. Il vit et travaille à Nancy (54) et collabore avec plusieurs galeries en France et aux États-Unis. Ses œuvres, qui incluent peinture, sérigraphie, sculpture, installation et vidéo, font partie d’un univers chaotique, brut et authentique. Les figures abstraites et déstructurées de Gilbert1 représentent les traces d’une société décadente et violente. Il a exposé dans des villes comme Paris, Lyon, St Etienne, Marseille, Stuttgart, Rome, Barcelone, New York, San Jose, Los Angeles, San Francisco et Berlin. Il a également exposé à la Galerie Orlinda Lavergne en juin 2016. Gilbert1 est né à Epinal en 1980.
Emerging from graffiti, Gilbert1 works both on the street and in the studio. He lives and works in Nancy (54) and collaborates with several galleries in France and the United States. His works, which include painting, screen printing, sculpture, installation, and video, are part of a chaotic, raw, and authentic universe. The abstract and deconstructed figures of Gilbert1 represent the traces of a decadent and violent society. He has exhibited in cities such as Paris, Lyon, St Etienne, Marseille, Stuttgart, Rome, Barcelona, New York, San Jose, Los Angeles, San Francisco, and Berlin. He also exhibited at the Galerie Orlinda Lavergne in June 2016. Gilbert1 was born in Epinal in 1980.
SPYK
SPYK
Tout a commencé pour Christophe-Gilbert Lequarré (alias Spyk) en 1990 par un voyage à New York. Il découvre le graffiti en sillonnant les rues de « la grosse pomme », ce qui inspire son style. De retour en Belgique, il développera son style artistique et utilisera la bombe de peinture en projection pour créer des toiles qui donnent un rendu photographique de son travail. Par ses paysages « à l’américaine », il s’inscrit « spontanément » dans la tradition du réalisme américain à la Hopper.
It all started for Christophe-Gilbert Lequarré (alias Spyk) in 1990 with a trip to New York. He discovers graffiti by criss-crossing the streets of « the big apple », which inspires his style. Back in Belgium, he will develop his artistic style and use spray paint in projection to create canvases that give a photographic rendering of his work. Through his « American-style » landscapes, he « spontaneously » fits into the tradition of American realism à la Hopper.